Passerino o passeretta? La “pazza” terminologia nautica. E due cenni sul solcometro (il “log”)

Ne avevamo già parlato un po’ di tempo fa, ma le “stravaganze” della terminologia nautica consentono di spaziare in maniera quasi infinita tra termini divertenti e curiosi. A gran richiesta ecco altre “chicche”. Sapete cos’è un “passerino“? Sono le cime che vengono tese da una parte all’altra della nave per sicurezza, in caso di mare grosso. La passeretta è invece l’antesignana del solcometro (lo strumento usato per misurare la velocità effettiva della barca).

Nasce intorno al 1770 e viene descritto come una tavola di legno fatta a forma di passero (o di altro uccello) lungo sette pollici e con un piombo sulla coda, in modo che trascinandolo in mare, questa affondasse mentre la testa restava fuori. Al becco veniva legata una cima lunga 150 passi (poco più di 100 metri) avvolta su un rocchetto a poppa della nave. Ogni 42 piedi vi era un nodo alla corda, contando i nodi che scorrevano durante un tempo determinato si poteva determinare la velocità della braca. 125__1__solcometro_a_barchetta

Il meccanismo è quindi lo stesso del solcometro a barchetta il più diffuso dei solcometri. Certo ora con i Gps nessuno usa più misurare la velocità in questo modo, ma una volta era l’unico modo (abbastanza) preciso per farlo. Il solcometro a barchetta prevedeva un settore di 90 ° in legno (la barchetta appunto, al posto della passeretta) munito di un piombo sull’orlo circolare e di una sagola terminate con una patta d’oca (sistema a tre funi che serve a distribuire la trazione, veniva definita anche zampa d’oca,  nome che richiama bene la forma che l’insieme di cime prende) e a cui veniva collegata, con una redancia, la sagola trascinata a poppa. Solc.Man.

Il solcometro a barchetta si è poi evoluto in quello ad elica a trascinamento: un’elichetta-pesce viene filata a poppa tramite una sagola, le rotazioni che questa prende vengono “lette” da uno strumento (meccanico o elettromeccanico) che riporta su un quadrante le miglia percorse. In uso sulle barche da diporto fino agli anni settanta era noto ai più col nome di Walker, il modello più diffuso. Sono poi arrivati i solcometri a scafo, tuttora i più diffusi, dove l’elica e a filo con la barca: gira proporzionalmente alla velocità della barca trasmettendo gli impulsi allo strumento di bordo. Poco diffusi sulle barche da diporto, ma molto su quelle da lavoro erano invece i solcometri a pressione, basati sulla variazione di pressione idraulica che si produce in un tubo sporgente al di sotto della chiglia e la cui entità è proporzionale alla velocità della nave. 1817-1-Log-Walker-s-XIX-sec

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